L'église de Dunkerque

Nicjo

Nicjoachim, bourgmestre de Dunkerque, assista à la messe en Notredame des Dunes, église qui lui était chère...et se rappela plein de souvenirs.

Il en profita pour saluer ses administrés venus à la messe ainsi que l'archevêque de passage...

Un excellent dimanche à tous!!!! dit le maire....en se dirigeant vers l'hotel de ville...

Renoan

Messe du dimanche 5 mai 1456

Il faisait un soleil radieux ce matin, Renoan se rendit à l'Eglise en sifflotant, dans la fraicheur de ce dimanche printannier.

Il entra dans la maison de Dieu et se signa.

Il déposa le bouquet de lilas qu'il avait apporté au pied de la statue de Sainte Illinda et pria un instant pour ses ouailles.

L'église de Dunkerque - Page 2 Lilas1kf1

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Il prépara ensuite le pain et le vin de messe dans la sachristie et les déposa sur l'autel.

Il déposa le livre des vertus sur son pupitre et l'ouvrit à la page qu'il souhaitait lire aux fidèles.
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Il était prêt. Il s'avança vers la porte de l'Eglise, ouvrit en grand les portes afin d'accueillir les fidèles qui attendaient sur le parvis, apparemment assez joyeux de retrouver aussi le soleil de printemps.

L'église de Dunkerque - Page 2 Bienvenue1nm

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Entrez, entrez, mes amis, prenez place.

Après avois salué chaque paroissiens, il s'avança lentement vers l'autel.

Mes chers Frères, mes chers Soeurs,
Demandons tout d'abord pardon à notre Seigneur

L'église de Dunkerque - Page 2 Confession1ou6

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Maintenant que notre ame est prête
Affirmons notre foi entre notre Seigneur par notre prière, le Crédo :

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Renoan se dirigea ensuite vers le pupitre pour lire l'extrait du livre des vertus :

Citation :: Le temps faisant son travail, les hommes et les femmes devinrent de plus en plus nombreux, maintenant leur amour pour Dieu et rejetant dans l’ombre La Créature Sans Nom. Celle-ci nourrissait chaque jour un peu plus son amertume et sa colère envers ce peuple tant aimé de Dieu qui lui avait pris sa place de reine de la Création. Les hommes et les femmes vivaient insouciants alors que dans l’ombre, leur ennemi préparait sa vengeance.

Dieu avait ordonné aux hommes et aux femmes de travailler pour assurer leur subsistance. Ce dur labeur les éloignait ainsi de l’acédie. Et les hommes et les femmes savaient être inventifs, car Dieu les avait conçus ainsi. Ils récoltaient ce qu’Il avait placé pour eux dans la nature. Ils se mirent à contrôler ces ressources afin d’assurer leur subsistance et leur vie n’en fut que meilleure.

Ils prirent le blé qui poussait dans la nature et le cultivèrent dans leurs champs. Le meunier transforma le blé en farine dans son moulin. Le boulanger la cuisit dans son four pour faire le pain. Ils prirent le maïs qui poussait dans la nature et le cultivèrent dans leurs champs. Ils prirent les légumes qui poussaient dans la nature et les cultivèrent dans leurs potagers. Ils cueillirent les fruits qui se trouvaient dans certains arbres et purent ainsi s’en nourrir. Le plaisir apporté par les légumes et les fruits les rendait plus agréables à côtoyer.

De la mer, des rivières et des lacs, ils pêchèrent du poisson. Et leur intelligence s’en trouva grandie. Ils inventèrent la barque et les poissons se firent plus nombreux encore entre leurs mains. Parfois, certains d’entre eux se réveillaient un matin sous une barque. Ils priaient alors Dieu de ce cadeau. Ils élevèrent des vaches, des cochons et des moutons dans leur pâturage, prenant soin de ces créatures qui leur avait été confiées par Dieu. Ils les nourrirent et ces créatures devinrent plus grasses.

Le boucher prépara la viande à partir des carcasses de ces créatures. Pour cela, ils inventèrent le couteau, instrument permettant de séparer les chairs les unes des autres. La viande qu’ils en tirèrent les nourrissait, mais ils se sentaient surtout plus forts après en avoir consommé. Des vaches, ils prirent également le lait, doux nectar sans égal.

Ils tondirent les moutons et en prélevèrent la laine. Ils en récupérèrent la peau pour en faire du cuir. Le tisserand lia la laine et le cuir pour en faire des vêtements, qui les protégeaient du vent et assuraient la décence de leur apparence. La nature leur donnant accès à tout ce qu’ils pouvaient espérer, ils durent inventer des tonneaux, où ils purent entreposer les fruits de leur labeur.

Pour se protéger lorsque les fenêtres du ciel s’ouvraient, ils créèrent les maisons et y habitèrent. Ils les aménagèrent avec des lits, des bougies, des tables, des chaises... et tout ce qui pouvait améliorer le confort de leur vie. Pour cela, le mineur préleva la pierre et le fer dans les mines. Et le bûcheron coupa le bois des arbres. Pour faciliter ce travail, le forgeron modela le fer et le bois pour en forger des outils, tels que les haches ou les couteaux.

Parfois, Dieu contribuait à cet âge de bonheur en donnant à ceux qui savaient aimer le monde de la nourriture, qu’ils n’avaient alors pas à produire. Parfois également, ils les encourageait en les rendant temporairement plus forts, plus intelligents ou plus charismatique. Et le dimanche, avant le repas, ils se réunissaient au milieu de leurs habitats, autour de la tombe d’Oane, pour prier ensemble Celui qui les aimait tant. En effet, ils n’avaient pas encore de clercs, car n’en avaient pas encore l’utilité, étant en communion directe avec Dieu.

Mes chers frères, mes chères soeurs, si j'ai choisi de vous lire ce passage assez long certes, car j'entends nombre de villageois se plaindre de ne pas gagner assez d'argent, que leur métier n'est pas rentable. Aussi le Seigneur nous a guider pour créer des choses que nous savons fabriquer, utiliser des ressources qu'il nous offre pour vivre. Et je dis bien pour vivre, pas pour se rouler dans l'or, pour entendre tinter les pièces dans vos bourses. Alors, en ces temps où parfois on ne trouve pas de denrées à bon prix, remercier plutot le Seigneur pour les bienfaits dont il nosu fait bénéficier et qui tout simplement nous font vivre.

Il se recueillit et attendit un moment que les fidèles réfléchissent au sermon qu'il venait de faire. Relevant la tête, il vit bien des têtes se baisser, entendit quelques chuchotements. Ils avaient sans doute compris.

Puis il retourna devant l'autel pour préparer la communion et invita les paroissiens à venir la partager.

L'église de Dunkerque - Page 2 Hostieox2

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Mes chers Frères, mes chères Soeurs, avant de nous quitter, prions ensemble notre Sainte Patronne, Sainte Illinda :

L'église de Dunkerque - Page 2 Saint_illinda

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Je vous rappelle que je suis disponible pour toutes demandes, vous pouvez me joindre à tout moment. Je vous souhaite une bonne journée.

Je vous rappelle que le mariage de Damoiselle Nenou et du Lieutenant Guigui aura lieu mercredi prochain.

Allez dans la paix du Seigneur !

Il sortit avec les paroissiens et se tint sur le parvis, pour les saluer et les écouter.

Poupoule

Après avoir bien bu pour fêter la fin de la course de tonneaux, Poupoule sortit pour se rendre à la messe. C'était la première messe à laquelle elle assistait depuis son retour de Bruges, et elle s'assit gentiment, son petit bout de chou dans les bras et ronflant pendant le sermon de Renoan. Sa vieille bonne se tenait un peu à l'écart et écoutait également le sermon avec un silence religieux.

La jeune bourgeoise regarda ensuite autour d'elle, mais ne vit pas son père. Elle n'en fut guère surprise : elle avait compris qu'il préférait bouffer du curé qu'aller à la messe.

Poupoule se concentra donc sur le sermon du frère de Kaelle, et pria avec toute la ferveur dont elle était capable. Quand fut dite la prière à Sainte-Illinda et que la messe finit, elle se leva, sortit et serra la main de Renoan sur le parvis de l'église, le remerciant pour ce beau sermon.

Felina

Felina a toujours detesté les Eglises et les hommes d'Eglise et ce serait sûrement la cas jusqu'à ce qu'elle rende son dernier soufle. Mais ce dimanche, elle se trouve pourtant au fond de l'eglise de Dunkerque, debout, adossée contre un mur, les bras croisés.
C'est pour elle la toute dernière occasion de pouvoir tranquillement admirer le Bel apolon qui sert de diacre à ce village. Bien qu'elle rêve de le voir sans sa soutane, elle sait que ce ne sera jamais le cas.
Elle n'écoute pas réellement ce qu'il dit, se laissant simplement hypnotisée par le charisme que dégage Renoan en cet instant. Puis elle ferme un instant les yeux, repensant à ses quelques semaines passées à Dunkerque. Ce village elle ne l'oubliera pas de sitôt même si l'appel des routes se fait plus fort et elle ne peut y résister.
Alors que la messe se poursuit et que tout le monde est absorbé par le sermon du diacre, elle s'approche du bac d'eau bénite, louchant sur les deux chandeliers en or qui sont placés à côté.

Un coup d'oeil à droite, un coup d'oeil à gauche et l'un des chandeliers a déjà rejoins sa besace et la voleuse se dirige vers la sortie. voilà qui lui permettra de monnayer son passage en Artois et en Champagne.
Un dernier regard vers Renoan, les villageois et elle sort de l'Eglise.

Au revoir Bel Apolon,

murmure t'elle pour le diacre qui ne l'entendra jamais prononcer ces mots.

Renoan

Renoan entra dans l'église, un grand sac de toile à la main. Il se signa et se dirigea vers le bénitier.

Il sortit de sa besace le lourd chandelier qu'il remit à sa place.

Il sourit au souvenir de cette petite damoiselle au solide caractère, cette jolie tigresse. Elle en avait fait tourner des têtes pendant son séjour. Il n'avait pas réussi à la faire rentrer complètement dans le droit chemin, mais elle avait fait un pas.

Seigneur, merci de veiller sur Félina, vous savez bien vous que sous ses airs de tigresse, elle est plus tendre qu'elle ne veut le montrer.

Il se signa et sortit en souriant.

Ceseargl

Cesear n'avait surment pas oublier d'aller à la messe ce dimanche. Il avait apprecié cette messe qu'avait dites le diacre Renoan, son viel ami.

Renoan

Dans L'église de Dunkerque, une foule joyeuse s'était rassemblée pour assister au mariage de Nenou et Guigui.

Elle avait été fleurie magnifiquement pour l'occasion.

Renoan les accueillit en souriant, un peu ému lui-même non seulement car c'était son premier mariage, mais également parce que cet cérémonie lui rappelait celle durant laquelle il fut uni à Lafred.

Après avoir salué les futurs mariés d’un signe de tête, il fit signe à l’assemblée, agitée par l’émotion, de faire silence, et commença la cérémonie par ces propos :

En ce jour béni et sous le regard de Dieu nous accueillons dans cette église deux âmes pures, aristotéliciennes et appréciées de tous qui souhaitent sceller leur amour et leur destin par les sacrements du mariage.
Gloire au Seigneur source d’amour et de joie qui permet à ces deux êtres de se lier par delà le temps et par delà la matière, pour que cet amour qui les amène ici soit préservé même après la mort, pour les siècles et les siècles, amen.

Sont ici devant vous et devant le Seigneur, Dame Nenou, Tisserande, Infimrière de l'Ost Flamand et Messire Guigui, Boucher et Lieutenant de Police de son état.

Puis, se tournant vers les futurs mariés :

Me confirmez vous ceci ?

Guigui

C'était le grand jour, tant attendu, depuis si longtemps ! Guigui arriva devant l'église, avec ses plus beaux vêtements.

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La foule dans les rues de Dunkerque était dense, avec les Follympiades, et il fut surpris de voir autant de monde se presser devant l'église. Bien entendu, Guigui savait que ses amis, et ceux de Nenou, allaient assister au mariage, mais il n'avait pas imaginé ce que cela représentait.

Il portait un sentiment étrange. Un mélange d'appréhension, de hâte, de joie. Il s'avança à l'intérieur de l'église, et attendit que la cérémonie commence. Pendant ce temps, il admira l'église, parfaitement décorée.

Lorsque la cérémonie commença et que Renoan posa la première question, il répondit distinctement :

OUI

Sa voix tremblais à peine. Pour une raison qu'il ignorait, il évitait de regarder Nenou. Sans doute voulait-il attendre l'officialisation de leur union...

Nenou

Par une belle journée ensoleillée, Nénou portait une robe blanche comme la neige. Cette robe, elle ne la portait pas régulièrement. C'était une robe un peu spécial, une robe de mariage. Nénou se mariait aujourd'hui avec Guigui, son compagnon depuis maintenant presque 1 an. Elle avait donc pris un soin tout particulier pour tisser et retoucher cette robe.

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Nénou arriva dans l'Eglise. La décoration était joli, et les gens était déjà assis, et attendaient. Elle repéra son témoin, Isisz, ainsi que celui de guigui, Alcore. Tout les deux étaient très souriant.

Lorsque Renoan lui demanda si elle était bien celle qui devait se marier, elle dit, après guigui :

Oui

[HRP : désolé Reno je pourrai pas aller en taverne ce soir, problème de conexion]

Kaelle

Dans le fond de l'église, Kaelle s'était installée pour assister au mariage de ses amis. Elle repensa à toutes les bêtises qu'elle avait pu faire en taverne avec Nenou et se dit que, avec le temps toutes deux étaient devenues plus ou moins sages. Même si elle était plus qu'occupée en ce moment, elle se devait de passer, au nom de ses bêtises là et de cette ancienne amitié.

Bartox

Bartox avait à peine pénétré dans l'Eglise qu'il fut bouche-bée par la beauté du jeune couple. Il faut dire qu'il était plus habitué à voir Guigui avec sa matraque ou son épée qu'avec un costume et une nouvelle coupe de cheveux !
Un large sourire aux lèvres, il prit place et fut pris d'émoi quand il entendit Guigui répondre

* hips * Oui * hips *

Pensant très fort pour envoyer un message télépathique à son Guigui adoré : Toutes mes félicitations mon vieux !

Renoan

Vous souhaitez vous unir car vous vous aimez, mais cela va bien plus loin que ça. Vous souhaitez continuer à élever vos enfants dans la foi de notre Seigneur. Vous désirez croiser vos destinées et continuer votre vie ensemble, vous voulez pouvoir continuer à vivre en couple, vous aider mutuellement, travailler et partager vos vie comme d'honnêtes gens. Vous voulez élever votre famille unie pleine d'amour, de bonheur et de valeurs. Valeur pour le travail, le respect d'autrui, pour l'aide des personnes dans le besoin, valeurs religieuses.

Vous souhaitez vous unir pour toutes ces raisons et je vous en félicite.

N’oublions pas de remercier toutes les personnes qui viennent se joindre à cette heureuse cérémonie.

Renoan enchaina par la lecture du livre des vertus :

Citation :: Création VIII : La Décision
Toutes les autres créatures furent surprises de cette décision de Dieu de faire des humains Ses enfants. Elles ne comprenaient pas ce qu’était l’amour et ne pouvaient concevoir que le Très Haut y accorde tant d’importance. Toutes se mirent à chuchoter, espérant que l’une d’elles explique aux autres ce choix divin.

Mais Dieu tourna Sa voix en direction des créatures qui n’avaient pu Lui donner de réponse. Il leur dit: “Vous qui n’avez pas su me répondre, vous qui vous prétendiez Mes créatures préférées. Vos esprits ne seront plus des choses supérieures. Elles ne tendront plus vers Moi. Comme vous serez dorénavant soumis à l’humain, de part votre nature strictement matérielle, je vous prive du langage. Vous bêlerez, meuglerez, grognerez, siffloterez, miaulerez ou aboierez jusqu’à la fin des temps!”.

Puis, Dieu tourna Sa voix en direction de la créature qui avait affirmé la domination du fort sur le faible. Il lui dit: “Puisque tu es si sûre de ton choix, je te laisse l’occasion de le prouver. Tu conserveras ton esprit, mais ton corps sera fait d’ombre. Ainsi, tu vivra, seul, côtoyant les humains, jusqu’à ce que Je te délivre de ta peine. Ainsi, personne ne te verra et personne ne te nommera, car J’ai Moi-même décidé de ne pas le faire.”

Dieu tourna ensuite Sa voix en direction d’Oane et lui dit: “J’ai fait de ton espèce Mes enfants. Je fais maintenant de vos esprits des âmes. Elles se différencient des esprits des autres espèces en ce qu’elles resteront dorénavant les seules à être de nature supérieure, à tendre vers Ma divine perfection. Ainsi, je divise le temps en sept parties, appelées “jours”, afin qu’à chaque septième jour, toi et les tiens vous vous réunissiez pour honorer votre père: Moi.”

“Mais il faudra encore que, chaque jour, toi et les tiens fassiez perdurer votre espèce. A l’exception de celle que Je n’ai pas nommée, J’ai fais de toutes les créatures vos soumises. Ainsi, vous vous en nourrirez, sans qu’elles ne se nourrissent de vous. Ce pouvoir dont vous disposez de vous nourrir des autres espèces, Je le nomme “travail”. Mais, afin que vous n’oubliiez jamais que ce pouvoir est un don de Moi, vous récompensant ainsi de ta bonne réponse, Oane, le travail sera laborieux, difficile, usant et fatigant. Mais ne te plaints pas de la souffrance que cela te cause, car, en vérité, c’est un bien beau cadeau que Je te fais.”

“Afin que vous remplaciez par de nouvelles générations celles dont la vie se termine, je vous fais un cadeau bien plus beau encore. Cet amour que J’attend de vous, Je vous permet aussi de l’éprouver également envers vous, en couple. La tendresse et le désir mutuels seront les composantes de ce pur sentiment. La procréation en sera le but. Mais seul l’amour que J’aurai béni pourra permettre l’acte de chair, afin que votre espèce perdure dans Mon amour.”

Alors, Dieu créa deux astres au-dessus du monde. L’un, rayonnant de lumière, fut appelé “soleil”. L’autre, luisant froidement, fut nommé “lune”. Dieu expliqua à Oane: “Que votre fidélité soit celle des enfants envers leurs parents ou je serais aussi sévère que les parents envers leurs enfants. Car, lorsque chacun de vous mourra, Je le jugerai, en fonction de la vie qu’il a mené. Le soleil inondera chaque jour le monde de sa lumière, par preuve d’amour pour Ma création. Ceux, parmi les tiens, que j’y enverrai, vivrons une éternité de bonheur. Mais entre chaque jour, la lune prendra la relève. Et ceux qui, parmi les tiens, y seront jetés n’y connaitront plus que la tourmente.”

Dame Nenou et Messire Guigui, aujourd'hui devant nous pour s'unir par les liens sacrés du mariage, s'aiment, à n'en point douter.

Et maintenant, procédons à l’échange rituel devant Dieu tout puissant et bienveillant pour ceux qui s’aiment.

Les époux se doivent mutuellement fidélité, secours et assistance en toute circonstance et tout au long de leur vie. Ensemble vous devrez assurer la direction morale et matérielle de la famille au sein d’une vie commune et vous devrez protéger et éduquer du mieux que vous le pourrez votre progéniture.

Si quelqu'un doit s’opposer à cette union, qu’il parle maintenant sous le toit de cette église, ou se taise à jamais.

Renoan

Silence..... Renoan reprend, à l'attention du futur marié :

Vous, Messire Guigui, consentez-vous librement à prendre pour épouse Dame Nenou ici présente, en promettant de l’aimer et de la chérir dans le bonheur et dans le malheur, de lui jurer fidélité et de la protéger, pour le meilleur et pour le pire, jusqu’à ce que la mort vous sépare ?

Guigui

La cérémonie lui paraissait interminable. Il n'en était pas ennuyé, au contraire - un petit peu quand même, il n'a jamais adoré les messes - mais plus Renoan parlait, plus il avait hâte.

Au moment où Renoan lui posa la question, Guigui en fut presque surpris. Il releva brusquement la tête, essaya de se concentrer sur ce qu'il allait dire. C'était un simple oui, mais pas un oui comme les autres. Son coeur battait très vite lorsqu'il prononça :

Oui !

Ceseargl

Cesear était présent au mariage de ses amis, la cérémonie est magnifique. Il était présent avec son épouse, et ils écoutaient attentivement la messe, et pensant déjà a feter ce mariage.

Renoan

Après cette affirmation, Renoan se tourna en souriant vers la jeune femme :

Vous, Dame Nenou, consentez-vous librement à prendre pour époux Messire Guigui ici présent, en promettant de l’aimer et de le chérir dans le bonheur et dans le malheur, de lui jurer fidélité et de le protéger, pour le meilleur et pour le pire, jusqu’à ce que la mort vous sépare ?

Nenou

Nénou écoutait Renoan attentivement. Elle jetait de temps à autre des regards en coin à guigui qui fixait Renoan.
Lorsque le moment arriva, elle se racla la gorge silencieusement, prete a répondre lorsque le diacre aura finit sa phrase

Oui, je consent

Repondit-elle. A ce moment là, elle regarda Guigui, qui la fixait de ses yeux pétillants. Elle avait très envie de le prendre dans ces bras et de l'embrasser, mais elle ne savait pas si elle pouvait le faire et attendit que Renoan continue.

Renoan

Renoan se retourne et prend sur l'autel un petit coussin pourpre sur lequel sont posés deux anneaux d'or.

L'église de Dunkerque - Page 2 Alliancescp8

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Il les présente aux futurs époux qui en prennent chacun un.

Dame Nenou tend sa main gauche à son fiancé. Messire Guigui la prend délicatement dans la sienne, et tout en lui glissant l'alliance autour de son annulaire, il dit :

Par cet anneau, je t'épouse.

De même, Dame Nenou prend la main de Messire Guigui. Pour éviter que l'émotion ne la fasse trembler, elle prend une grande respiration. Glissant l'alliance au doigt de son fiancé, elle déclare à son tour :

Par cet anneau, je t'épouse.

Renoan regarde alors les deux témoins qui se tiennent aux cotés des futurs mariés.

Vous,Messire Alcore et vous, Dame Isisz, pouvez vous affirmer et témoigner de la volonté propre et sincère que ces deux êtres ont de s'unir par les liens sacrés du mariage ?

Webchef

hiiiiiiiiiiiiiiii........( les portes d'eglise grince toujours)

Etant un peu en retard , je me fis tout p'ti pour assister a la fin de l'office , deja les anneaux , eh bien , je suis plus en retard que je ne le pensais , Dame Sheilla m'avais de nouveau induit en erreur pour l'horaire
je pris place au fond de l'eglise , hiiiiiiiiiiiiiiiiiii...........(la porte se referme )
Certaine personne me regarde de traver ne me connaissant pas ......bon , apres les bagues , c'est le bisou non , ça m'etonnerais que Guigui oublis ça...............aller , les p'tit , bisou chez vous ...........de Genk
il porte pas trop mal le costume le p'tit Guigui , mais elle ,habillé tout de blanc ............quelle classe , ça va donné de jolies p'tit tout ça

Alcore

Alcore regardais ses amis s'unir, pensant qu'un jour, ce serais sans doutes son tour... Il revassait, lorsqu'il entendit Renoan s'adresser a lui:

Euh, votre honneur, euh, oups, pardon. Monseigneur, j'ai bien entendu votre demande, et...

Il fut reveillé par un coup de coude dans les cotes, merveilleusement bien placé par Isisz

Aieuh, je rigolais Isisz...

Il redevint sérieux

Oui, je peut en temoigner, ils s'aiment d'un amour pur et sans acro...

Flippie

urbain et flippie etaient là aussi pour leurs amis .

pour rien au monde il n'auraient manqué cette céremonie de mariage,sachant que leur amour,et leur bonheur de s'unir enfin!!! etait grand Wink

c'est mains ds la mains qu'ils assisterent a cette consécration ,tout en se rememorant la leur ,en leur souhaitant autant de bonheur.

L'église de Dunkerque - Page 2 Urbetflipmariagenenouik5

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Sheilla

Sheilla fit envoyer un coursier au mariage, il avait ordre de ne pas perturber la cérémonie, il avait en sa possession une missive à remettre aux époux, ainsi qu'une corbeille de fruits ghentois, un fût et une corde.

Sur la missive, on pouvait lire.

Citation :: Mon cher Guigui, Ma chère Nénou,
Pardonnez moi de ne pouvoir être là en ce jour de bonheur.
La mairie me garde à Gent mais toutes mes pensées vont vers vous.
Félicitations à tout deux et longue vie de bonheur et d'amour.
Je vous embrasse de loin et promet de venir après ce mandat vous voir à Dunkerque pour vous arroser comme il se doit.

PS:Nénou, la corde c'est pour Guigui, je suis sure que tu sauras quoi en faire.

Sheilla.

Renoan

Par les pouvoirs qui me sont conférés par l’autorité du Tout Puissant et avec la bénédiction du ciel, je vous déclare unis par les liens sacrés du mariage.

Vous pouvez embrasser la mariée.

Dodgers

dodgers arriva en courant a l eglise pour rejoindre sa maour et ses amis qui etaient deja la

il s assit et ecouta la ceremonie

il pensa qu il se verrai bien a leur place mais pour cela la route est longue

Guigui

Lorsque Renoan prononça la phrase finale, c'était comme si tout le stress et toute la joie que Guigui contenait explosa d'un coup. Il embrassa fougueusement Nenou en la serrant dans ses bras. Le baiser était interminable et aurait surement valut la victoire s'il faisait parti du concours des Follympiades.